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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 02:30

 

« CINQ CAMÉRAS BRISÉES»

Un film de Emad BURNAT et Guy DAVIDI

Prix Louis Marcorelles au Cinéma du réel 2012,  Prix de la Réalisation, Sundance film Festival, 2012, Prix spécial du Jury et prix du Public IDFA 2011, Nominé aux Oscars 2013

 

 

 

Synopsis

 

Emad, paysan, vit à Bil’in en Cisjordanie.


Il y a cinq ans, au milieu du village, Israël a élevé un « mur de séparation » qui exproprie les 1.700 habitants de la moitié de leurs terres, pour étendre et « protéger » la colonie juive de Modi’in Illit, prévue pour 150.000 résidents.


Les villageois de Bil’in s’engagent dès lors dans une lutte non-violente pour obtenir le droit de rester propriétaires de leurs terres, et de coexister pacifiquement avec les Israéliens.


Dès le début de ce conflit, et pendant cinq ans, Emad filme les actions entreprises par les habitants de Bil’in. Avec sa caméra, achetée lors de la naissance de son quatrième fils, il établit la chronique intime de la vie d’un village en ébullition, dressant le portrait des siens, famille et amis, tels qu’ils sont affectés par ce conflit sans fin.


 

"Filmer, pour guérir, faire face et survivre" confie Emad.

"Extraire de la haine ce qui peut construire quelque chose de positif" complète Guy Davidi, son collègue israélien.

N'éludant rien, les deux réalisateurs signent un documentaire nécessaire, confondant et sans concession malgré une fin relativement encourageante.

Outre ses nombreux prix gagnés dans le monde entier, ce film vient d'être nominé aux Oscars 2013.


 


 


 

 

Bande-annonce : 

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19464548&cfilm=200620.html



Ce film passera cette semaine (20 au 26 février) dans les cinémas suivants :


Espace Saint-Michel (Place St-Michel - Paris 5e - Métro : Saint-Michel )  tous les jours à 13h05, 16h35, 20h et 21h40

Les Sept Parnassiens (98, Bd du Montparnasse - Paris 14e - Métro : Vavin) :
Tous les Mercredi 20, Jeudi 21, Vendredi 22, Lundi 25 et  Mardi 26 à 11h, 13h55, 15h55, 17h55, 19h55 et 21h55
ainsi que les Samedi 23 et Dimanche
24 février à 11h,  17h55,  19h55 et 21h55


MK2 Beaubourg (50, rue Rambuteau - Paris 3e - Métro :  Rambuteau ) : Tous les jours à 13h40, 15h50, 17h55, 20h et 22h

Apollo ( 62, avenue de la République à Pontault-Combault (Seine et Marne - 77) : Mercredi à 20h30 , Vendredi et Lundi à 20h45 Dimanche 24 à 18h et Mardi 26 à 18h45


Le Figuier Blanc ( 16 rue Grégoire Callas à Argenteuil) : Mardi 26 à 20h30

 

 

 

 

______________________________________________________________________________________________

Du jour où Emad a commencé à filmer…

Isabelle Regnier, Le Monde, mercredi 20 février 2013

Le " mur " raconté par un cultivateur de Cisjordanie devenu cinéaste multiprimé

 

En 2005, alors que son qua­trième fils, Djibril, venait de naître, Emad Burnat a acheté une caméra. Ce culti­vateur de Bil’in, petit village de Cis­jor­danie, n’avait pas l’intention de devenir cinéaste. Mais l’objet lui a tant plu qu’il en a fait une extension de lui-​​même. Et son projet a changé de nature.
Année de nais­sance de Djibril, 2005 est aussi celle durant laquelle les habi­tants de Bil’in ont vu débarquer sur leurs terres des topo­graphes israé­liens. En plein milieu du village, ces hommes ont tracé un iti­né­raire pour le futur " mur " qui les séparait de leurs terres culti­vables et en trans­férait la jouis­sance aux habi­tants de la colonie juive voisine de Modi’in Illit. Sans s’en douter, ils ont ainsi ouvert la voie à une des plus durables, des plus obs­tinées et des plus effi­caces cam­pagnes de résis­tance non vio­lentes à la poli­tique du fait accompli menée par les Israé­liens pour étendre leur implan­tation ter­ri­to­riale. Après cinq années de mobi­li­sation, les gens de Bil’in ont obtenu que la Cour de justice israé­lienne décrète le tracé illé­gitime et en ordonne la révision, en leur faveur.
Le temps qu’il ne passait pas chez lui à filmer sa famille, Emad Burnat le passait, pendant ces années, aux côtés des vil­la­geois, avec ses amis qui mani­fes­taient infailli­blement tous les ven­dredis, orga­nisant toutes sortes d’actions aux­quelles se sont pro­gres­si­vement associés des mili­tants du monde entier. Il filmait tout ce qu’il pouvait, chan­geant de caméra chaque fois que la sienne finissait démolie par un mili­taire israélien. Il en usera cinq au total, en cinq ans, dont il expose les cadavres dans la scène inau­gurale du film.
Filmer, pour Emad Burnat, était la meilleure manière de par­ti­ciper à la mobi­li­sation. Tout en créant les archives de cette lutte, son action conso­lidait la soli­darité des vil­la­geois, notamment lors des pro­jec­tions col­lec­tives qu’il orga­nisait. L’idée d’en faire un long-​​métrage ne vient que tar­di­vement, après la mort d’un de ses com­pa­gnons, tué par une balle israélienne.
Pour l’aider à construire son récit, Emad Burnat a fait appel à l’Israélien Guy Davidi, un docu­men­ta­riste militant, familier de la mobi­li­sation de Bil’in. Le film qu’ils ont coréalisé est formidable.
Sa qualité pre­mière, qui le dis­tingue de la masse de films sur la lutte entre l’armée israé­lienne et les popu­la­tions pales­ti­niennes, tient à sa tem­po­ralité. Cinq ans, c’est une belle durée pour donner la mesure concrète du pour­ris­sement de la situation dans les ter­ri­toires occupés et de ses effets sur la vie des Pales­ti­niens. Mais elle diffère selon que l’on considère le spec­tacle tris­tement banal de l’armée israé­lienne har­celant les popu­la­tions, ou celui, bou­le­versant, d’un enfant qui grandit sous nos yeux et que la vio­lence dans laquelle il baigne - on le voit dans sa chair - façonne en pro­fondeur. A 3 ans, les mots " armée " et " mur " font partie des pre­miers qu’il pro­nonce. A 5, il demande à son père pourquoi celui-​​ci ne part pas tuer des soldats israé­liens avec un couteau, pour venger la mort de son ami…
Les jalons de la vie du petit Djibril, les opé­ra­tions d’agit-prop, dont l’intelligence et l’inventivité pro­duisent imman­qua­blement les mêmes effets, aveu­glément répressifs, la voix off, accablée mais jamais résignée, du réa­li­sateur donnent au film une forme de journal intime poé­tique. Cinq caméras brisées a été primé à Sun­dance, à Jéru­salem, au fes­tival du Cinéma du réel et dans une quin­zaine d’autres fes­tivals. Aujourd’hui, il concourt pour l’Oscar du meilleur documentaire.
Documentaire d’Emad Burnat et Guy Davidi
(130).
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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 01:50
                                 Politis  
                              "Israël - Palestine: où en est-on?"
Politis organise, dans le cadre de l'édition 2013 de la semaine anticoloniale, un grand débat sur la question palestinienne.

Il aura lieu le vendredi
1er mars à 19 heures à la Maison des Métallos, 94 rue Jean Pierre Timbaud Paris 11ème et il aura pour thème

                               "Israël - Palestine: où en est-on?"


Il réunira
Leïla Shahid , Déléguée générale de la Palestine auprès de l'Union européenne,

Dominique Vidal , journaliste et historien, et

Denis Sieffert, qui assurera l'animation du débat.

                                                        Entrée libre et gratuite
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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 02:05

 

« CINQ CAMÉRAS BRISÉES»

Un film de Emad BURNAT et Guy DAVIDI

Prix Louis Marcorelles au Cinéma du réel 2012,  Prix de la Réalisation, Sundance film Festival, 2012, Prix spécial du Jury et prix du Public IDFA 2011, Nominé aux Oscars 2013

 

 

 

Synopsis

 

Emad, paysan, vit à Bil’in en Cisjordanie.


Il y a cinq ans, au milieu du village, Israël a élevé un « mur de séparation » qui exproprie les 1.700 habitants de la moitié de leurs terres, pour étendre et « protéger » la colonie juive de Modi’in Illit, prévue pour 150.000 résidents.


Les villageois de Bil’in s’engagent dès lors dans une lutte non-violente pour obtenir le droit de rester propriétaires de leurs terres, et de coexister pacifiquement avec les Israéliens.


Dès le début de ce conflit, et pendant cinq ans, Emad filme les actions entreprises par les habitants de Bil’in. Avec sa caméra, achetée lors de la naissance de son quatrième fils, il établit la chronique intime de la vie d’un village en ébullition, dressant le portrait des siens, famille et amis, tels qu’ils sont affectés par ce conflit sans fin.


 

"Filmer, pour guérir, faire face et survivre" confie Emad.

"Extraire de la haine ce qui peut construire quelque chose de positif" complète Guy Davidi, son collègue israélien.

N'éludant rien, les deux réalisateurs signent un documentaire nécessaire, confondant et sans concession malgré une fin relativement encourageante.

Outre ses nombreux prix gagnés dans le monde entier, ce film vient d'être nominé aux Oscars 2013.


 


 


 

 

Bande-annonce : 

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19464548&cfilm=200620.html



Ce film passera cette semaine (20 au 26 février) dans les cinémas suivants :


Espace Saint-Michel (Place St-Michel - Paris 5e - Métro : Saint-Michel )  tous les jours à 13h05, 16h35, 20h et 21h40

Les Sept Parnassiens (98, Bd du Montparnasse - Paris 14e - Métro : Vavin) :
Tous les Mercredi 20, Jeudi 21, Vendredi 22, Lundi 25 et  Mardi 26 à 11h, 13h55, 15h55, 17h55, 19h55 et 21h55
ainsi que les Samedi 23 et Dimanche
24 février à 11h,  17h55,  19h55 et 21h55


MK2 Beaubourg (50, rue Rambuteau - Paris 3e - Métro :  Rambuteau ) : Tous les jours à 13h40, 15h50, 17h55, 20h et 22h

Apollo ( 62, avenue de la République à Pontault-Combault (Seine et Marne - 77) : Mercredi à 20h30 , Vendredi et Lundi à 20h45 Dimanche 24 à 18h et Mardi 26 à 18h45


Le Figuier Blanc ( 16 rue Grégoire Callas à Argenteuil) : Mardi 26 à 20h30

 

 

 

 

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Du jour où Emad a commencé à filmer…

Isabelle Regnier, Le Monde, mercredi 20 février 2013

Le " mur " raconté par un cultivateur de Cisjordanie devenu cinéaste multiprimé

 

En 2005, alors que son qua­trième fils, Djibril, venait de naître, Emad Burnat a acheté une caméra. Ce culti­vateur de Bil’in, petit village de Cis­jor­danie, n’avait pas l’intention de devenir cinéaste. Mais l’objet lui a tant plu qu’il en a fait une extension de lui-​​même. Et son projet a changé de nature.
Année de nais­sance de Djibril, 2005 est aussi celle durant laquelle les habi­tants de Bil’in ont vu débarquer sur leurs terres des topo­graphes israé­liens. En plein milieu du village, ces hommes ont tracé un iti­né­raire pour le futur " mur " qui les séparait de leurs terres culti­vables et en trans­férait la jouis­sance aux habi­tants de la colonie juive voisine de Modi’in Illit. Sans s’en douter, ils ont ainsi ouvert la voie à une des plus durables, des plus obs­tinées et des plus effi­caces cam­pagnes de résis­tance non vio­lentes à la poli­tique du fait accompli menée par les Israé­liens pour étendre leur implan­tation ter­ri­to­riale. Après cinq années de mobi­li­sation, les gens de Bil’in ont obtenu que la Cour de justice israé­lienne décrète le tracé illé­gitime et en ordonne la révision, en leur faveur.
Le temps qu’il ne passait pas chez lui à filmer sa famille, Emad Burnat le passait, pendant ces années, aux côtés des vil­la­geois, avec ses amis qui mani­fes­taient infailli­blement tous les ven­dredis, orga­nisant toutes sortes d’actions aux­quelles se sont pro­gres­si­vement associés des mili­tants du monde entier. Il filmait tout ce qu’il pouvait, chan­geant de caméra chaque fois que la sienne finissait démolie par un mili­taire israélien. Il en usera cinq au total, en cinq ans, dont il expose les cadavres dans la scène inau­gurale du film.
Filmer, pour Emad Burnat, était la meilleure manière de par­ti­ciper à la mobi­li­sation. Tout en créant les archives de cette lutte, son action conso­lidait la soli­darité des vil­la­geois, notamment lors des pro­jec­tions col­lec­tives qu’il orga­nisait. L’idée d’en faire un long-​​métrage ne vient que tar­di­vement, après la mort d’un de ses com­pa­gnons, tué par une balle israélienne.
Pour l’aider à construire son récit, Emad Burnat a fait appel à l’Israélien Guy Davidi, un docu­men­ta­riste militant, familier de la mobi­li­sation de Bil’in. Le film qu’ils ont coréalisé est formidable.
Sa qualité pre­mière, qui le dis­tingue de la masse de films sur la lutte entre l’armée israé­lienne et les popu­la­tions pales­ti­niennes, tient à sa tem­po­ralité. Cinq ans, c’est une belle durée pour donner la mesure concrète du pour­ris­sement de la situation dans les ter­ri­toires occupés et de ses effets sur la vie des Pales­ti­niens. Mais elle diffère selon que l’on considère le spec­tacle tris­tement banal de l’armée israé­lienne har­celant les popu­la­tions, ou celui, bou­le­versant, d’un enfant qui grandit sous nos yeux et que la vio­lence dans laquelle il baigne - on le voit dans sa chair - façonne en pro­fondeur. A 3 ans, les mots " armée " et " mur " font partie des pre­miers qu’il pro­nonce. A 5, il demande à son père pourquoi celui-​​ci ne part pas tuer des soldats israé­liens avec un couteau, pour venger la mort de son ami…
Les jalons de la vie du petit Djibril, les opé­ra­tions d’agit-prop, dont l’intelligence et l’inventivité pro­duisent imman­qua­blement les mêmes effets, aveu­glément répressifs, la voix off, accablée mais jamais résignée, du réa­li­sateur donnent au film une forme de journal intime poé­tique. Cinq caméras brisées a été primé à Sun­dance, à Jéru­salem, au fes­tival du Cinéma du réel et dans une quin­zaine d’autres fes­tivals. Aujourd’hui, il concourt pour l’Oscar du meilleur documentaire.
Documentaire d’Emad Burnat et Guy Davidi
(130).
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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 01:50
                                 Politis  
                              "Israël - Palestine: où en est-on?"
Politis organise, dans le cadre de l'édition 2013 de la semaine anticoloniale, un grand débat sur la question palestinienne.
haut-pub

Il aura lieu le vendredi
1er mars à 19 heures à la Maison des Métallos, 94 rue Jean Pierre Timbaud Paris 11ème et il aura pour thème

                               "Israël - Palestine: où en est-on?"


Il réunira
Leïla Shahid , Déléguée générale de la Palestine auprès de l'Union européenne,

Dominique Vidal , journaliste et historien, et

Denis Sieffert, qui assurera l'animation du débat.

                                                        Entrée libre et gratuite

http://www.politis.fr/

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 01:40
                                  Col­loque
La colo­ni­sation et ses effets sur la vie poli­tique, écono­mique et sociale des Palestiniens

Au Palais du Luxembourg, vendredi 1er mars 2013

 

Ce col­loque présidé par Mme Esther Ben­bassa, Séna­trice du Val de Marne et Direc­trice d’Etudes à l’Ecole Pra­tique des Hautes Etudes, et Mon­sieur Jean-​​Claude Lefort, pré­sident de l’Association France Palestine Soli­darité et député hono­raire, porte sur la colo­ni­sation et ses effets sur la vie poli­tique, écono­mique et sociale des Pales­ti­niens.
Il aura lieu le ven­dredi 1er mars 2013 au Palais du Luxem­bourg, de 9h à 17h.


Vous pouvez vous ins­crire en écrivant à colloque.​colonisation@​gmail.​com (dans la limite des places disponibles)

 

Télé­charger le programme

Documents joints

 

 

http://france-palestine.org/Colloque-La-colonisation-et-ses

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 01:50
                                 Politis  
                              "Israël - Palestine: où en est-on?"
Politis organise, dans le cadre de l'édition 2013 de la semaine anticoloniale, un grand débat sur la question palestinienne.

Il aura lieu le vendredi
1er mars à 19 heures à la Maison des Métallos, 94 rue Jean Pierre Timbaud Paris 11ème et il aura pour thème

                               "Israël - Palestine: où en est-on?"


Il réunira
Leïla Shahid , Déléguée générale de la Palestine auprès de l'Union européenne,

Dominique Vidal , journaliste et historien, et

Denis Sieffert, qui assurera l'animation du débat.

                                                        Entrée libre et gratuite
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9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 02:20
 L'Institut de recherche et d'études sur la Méditerranée et le Moyen-Orient et le blog Nouvelles d'Orient, <http://blog.mondediplo.net/-Nouvelles-d-Orient- animé par Alain Gresh, proposent une

 Université populaire Méditerranée & Moyen-Orient

 Cycle n° 5   ---   Samedi 9 février

 Les femmes dans le monde arabe et méditerranéen


 Séance 1 : 10h30-12h30 : Histoire et état des lieux de la condition des femmes dans le « monde arabe », avec Sonia Dayan Herzbrun, professeure de Sciences Sociales à l'Université Paris Diderot-Paris 7. Elle est Directrice de la Revue Tumultes, revue interdisciplinaire sur les phénomènes politiques contemporains.

 Séance 2 : 14h-16h : Femmes et féminisme en Iran, avec Azadeh Kian, professeur de sociologie à l'Université Paris 7  Diderot, chercheure associée à l'UMR Mondes iranien et indien, CNRS, elle est également directrice du Credef et des Cahiers du Cedref, son dernier ouvrage s'intitule : L'Iran : un mouvement sans révolution ? (Michalon, 2011).

 Séance 3 : 16h-18h : Qu'est-ce que le féminisme islamique ?, avec Zahra Ali, doctorante en sociologie à l'École des hautes études en sciences sociales (Ehess) et à l'Institut français pour le Proche-Orient (Ifpo), engagée depuis de nombreuses années au sein de dynamiques musulmanes, féministes et antiracistes. Elle est l'auteure de Féminismes islamiques (La Fabrique, 2012).

 


Prochaines sessions :

 â€¢ Samedi 2/03/2013 : L'Algérie, le Sahara et la géopolitique du
Maghreb

 â€¢ Samedi 6/04/2013 : Culture(s) en Méditerranée et dans le
monde arabe

ʉۢ Samedi 18/05/2013: Jeunesses arabes et musulmanes

 â€¢ Samedi 8/06/2013 : Les grandes puissances en Méditerranée et
au Moyen-Orient

 Prochain cycle hors les murs de l'Université populaire Méditerranée
Moyen-Orient à Ivry-sur-Seine en partenariat avec le Conseil général
du Val-de-Marne
<http://www.cg94.fr/europe-international/approches-en-val-de-marne-du-monde-demain.html>
 aura lieu le jeudi 28 février et le samedi 2 mars.

 Renseignements, tarifs et inscriptions :
universite-populaire@iremmo.org

 Inscription à la journée : 20 € (12 € pour les étudiants
et demandeurs d'emploi)

 Inscription à l'année : 120 € (80 € en tarif réduit)

 Inscrivez-vous dès maintenant pour l'année
<http://iremmo.webou.net/spip/spip.php?article83>

 iReMMO 5, rue Basse des Carmes 75005 Paris (Maubert Mutualité) - 01
43 29 05 65 – http://www.iremmo.org
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9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 00:30
Le trio Joubran vibre à l’Olympia 

Anne Berthod
Créé le 06/02/2013 / modifié le 06/02/2013 à 16h09

Le trio Joubran vibre à l’Olympia 

 

Ces virtuoses de l’oud seront les premiers Palestiniens à se produire dans la mythique salle parisienne. Un événement qui marquera leurs dix ans de scène.
Samir, Adnaes trois frères de Galilée, farouches défenseurs de l’identité palestinienne, réinventent les maqâm de la musique classique arabe depuis dix ans. Un anniversaire qu’ils célèbrent par un concert et un coffret anthologie de cinq disques.

Pourquoi l’Olympia ?
Samir. Pour faire plaisir à notre père, pour qui, si on n’a pas fait l’Olympia une fois dans sa vie, on a raté sa carrière ! C’est là qu’ont chanté Fayrouz, Oum ­Kalsoum… cette salle est un symbole dans le monde arabe et nous serons les premiers Palestiniens à y donner un concert.

Êtes-vous des artistes militants ?
Samir. On ne peut pas oublier qu’on est sous occupation. Nous avons ce besoin de prouver que nous existons, de mettre la Palestine sur la carte du monde, au moins culturellement.
Adnan. Comme disait notre ami le poète Mahmoud Darwich, les drapeaux sont bons pour les matchs de foot et les meetings politiques, ils sont inutiles dans la musique.

En somme, la Palestine vous inspire…
Samir. On entend, dans notre musique, la fierté, parfois la colère, mais aussi des rêves de silence. Avant, nous ne pouvions composer que là-bas, à Nazareth. Ce n’est plus le cas. Notre inspiration, nous la trouvons aussi dans l’ouverture aux autres, avec des artistes comme Dhafer Youssef, ou le percussionniste Youssef Hbeisch, qui fait désormais partie de la famille. 
Wissam. Derrière nos 10 ans de scène, il y a 100 ans de tradition : c’est cela qui m’inspire. Nous représentons la quatrième génération de musiciens dans notre famille. J’en ressens une certaine responsabilité.
Adnan. Il y a aussi l’amour ! Et l’attente du public, qui est une inspiration en soi.
 
À écouter

The First 10 Years : coffret édité par World Village/Harmonia Mundi, 35 €.

Concert le 7 février à l’Olympia, Paris IXe.
Tél. : 08 92 68 33 68.
www.olympiahall.com

 

 

http://www.lavie.fr/culture/musique/le-trio-joubran-vibre-a-l-olympia-06-02-2013-36127_34.php

 

 
   
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8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 02:20
 L'Institut de recherche et d'études sur la Méditerranée et le Moyen-Orient et le blog Nouvelles d'Orient, <http://blog.mondediplo.net/-Nouvelles-d-Orient- animé par Alain Gresh, proposent une

 Université populaire Méditerranée & Moyen-Orient

 Cycle n° 5   ---   Samedi 9 février

 Les femmes dans le monde arabe et méditerranéen


 Séance 1 : 10h30-12h30 : Histoire et état des lieux de la condition des femmes dans le « monde arabe », avec Sonia Dayan Herzbrun, professeure de Sciences Sociales à l'Université Paris Diderot-Paris 7. Elle est Directrice de la Revue Tumultes, revue interdisciplinaire sur les phénomènes politiques contemporains.

 Séance 2 : 14h-16h : Femmes et féminisme en Iran, avec Azadeh Kian, professeur de sociologie à l'Université Paris 7  Diderot, chercheure associée à l'UMR Mondes iranien et indien, CNRS, elle est également directrice du Credef et des Cahiers du Cedref, son dernier ouvrage s'intitule : L'Iran : un mouvement sans révolution ? (Michalon, 2011).

 Séance 3 : 16h-18h : Qu'est-ce que le féminisme islamique ?, avec Zahra Ali, doctorante en sociologie à l'École des hautes études en sciences sociales (Ehess) et à l'Institut français pour le Proche-Orient (Ifpo), engagée depuis de nombreuses années au sein de dynamiques musulmanes, féministes et antiracistes. Elle est l'auteure de Féminismes islamiques (La Fabrique, 2012).

 


Prochaines sessions :

 â€¢ Samedi 2/03/2013 : L'Algérie, le Sahara et la géopolitique du
Maghreb

 â€¢ Samedi 6/04/2013 : Culture(s) en Méditerranée et dans le
monde arabe

ʉۢ Samedi 18/05/2013: Jeunesses arabes et musulmanes

 â€¢ Samedi 8/06/2013 : Les grandes puissances en Méditerranée et
au Moyen-Orient

 Prochain cycle hors les murs de l'Université populaire Méditerranée
Moyen-Orient à Ivry-sur-Seine en partenariat avec le Conseil général
du Val-de-Marne
<http://www.cg94.fr/europe-international/approches-en-val-de-marne-du-monde-demain.html>
 aura lieu le jeudi 28 février et le samedi 2 mars.

 Renseignements, tarifs et inscriptions :
universite-populaire@iremmo.org

 Inscription à la journée : 20 € (12 € pour les étudiants
et demandeurs d'emploi)

 Inscription à l'année : 120 € (80 € en tarif réduit)

 Inscrivez-vous dès maintenant pour l'année
<http://iremmo.webou.net/spip/spip.php?article83>

 iReMMO 5, rue Basse des Carmes 75005 Paris (Maubert Mutualité) - 01
43 29 05 65 – http://www.iremmo.org
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7 février 2013 4 07 /02 /février /2013 02:20
 L'Institut de recherche et d'études sur la Méditerranée et le Moyen-Orient et le blog Nouvelles d'Orient, <http://blog.mondediplo.net/-Nouvelles-d-Orient- animé par Alain Gresh, proposent une

 Université populaire Méditerranée & Moyen-Orient

 Cycle n° 5   ---   Samedi 9 février

 Les femmes dans le monde arabe et méditerranéen


 Séance 1 : 10h30-12h30 : Histoire et état des lieux de la condition des femmes dans le « monde arabe », avec Sonia Dayan Herzbrun, professeure de Sciences Sociales à l'Université Paris Diderot-Paris 7. Elle est Directrice de la Revue Tumultes, revue interdisciplinaire sur les phénomènes politiques contemporains.

 Séance 2 : 14h-16h : Femmes et féminisme en Iran, avec Azadeh Kian, professeur de sociologie à l'Université Paris 7  Diderot, chercheure associée à l'UMR Mondes iranien et indien, CNRS, elle est également directrice du Credef et des Cahiers du Cedref, son dernier ouvrage s'intitule : L'Iran : un mouvement sans révolution ? (Michalon, 2011).

 Séance 3 : 16h-18h : Qu'est-ce que le féminisme islamique ?, avec Zahra Ali, doctorante en sociologie à l'École des hautes études en sciences sociales (Ehess) et à l'Institut français pour le Proche-Orient (Ifpo), engagée depuis de nombreuses années au sein de dynamiques musulmanes, féministes et antiracistes. Elle est l'auteure de Féminismes islamiques (La Fabrique, 2012).

 


Prochaines sessions :

 â€¢ Samedi 2/03/2013 : L'Algérie, le Sahara et la géopolitique du
Maghreb

 â€¢ Samedi 6/04/2013 : Culture(s) en Méditerranée et dans le
monde arabe

ʉۢ Samedi 18/05/2013: Jeunesses arabes et musulmanes

 â€¢ Samedi 8/06/2013 : Les grandes puissances en Méditerranée et
au Moyen-Orient

 Prochain cycle hors les murs de l'Université populaire Méditerranée
Moyen-Orient à Ivry-sur-Seine en partenariat avec le Conseil général
du Val-de-Marne
<http://www.cg94.fr/europe-international/approches-en-val-de-marne-du-monde-demain.html>
 aura lieu le jeudi 28 février et le samedi 2 mars.

 Renseignements, tarifs et inscriptions :
universite-populaire@iremmo.org

 Inscription à la journée : 20 € (12 € pour les étudiants
et demandeurs d'emploi)

 Inscription à l'année : 120 € (80 € en tarif réduit)

 Inscrivez-vous dès maintenant pour l'année
<http://iremmo.webou.net/spip/spip.php?article83>

 iReMMO 5, rue Basse des Carmes 75005 Paris (Maubert Mutualité) - 01
43 29 05 65 – http://www.iremmo.org
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