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13 mars 2016 7 13 /03 /mars /2016 02:39

Following brother: 6-year-old girl announced dead of her wounds in Israeli strike on Gaza

PNN/ Gaza/
On Saturday everning, medical sources announced that Israa Abu Khusah, six years old, has died of wounds she sustained in the Israeli raid on Gaza, Saturday dawn.

The same raid had earlier killed Israa’s 10-year-old brother, Yassin Abu Khusah, and caused moderate injuries to their older brother, Ayoub (13).

The family home, located in Beit Lahiya city, northern Gaza strip, was partially damaged during the 2014 Israeli offensive on Gaza.

Israeli occupation forces (IOF) said the raid had targeted four Hamas sites in the Strip, however, the victims were these children.

According to their reports, four rockets were fired from the Strip Friday evening.

http://english.pnn.ps/2016/03/13/following-brother-6-year-old-girl-announced-dead-of-her-wounds-in-israeli-strike-on-gaza/

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12 mars 2016 6 12 /03 /mars /2016 02:38

Le dernier Trump

UN PAYSAN vient pour la première fois à la grande ville. Il visite le zoo et reste des heures cloué sur place devant la cage du kangourou. “Il n’y a pas d’animal comme ça !” n’arrête-t-il pas de s’écrier.

Uri Avnery, vendredi 11 mars 2016

Je dois avouer que j’ai éprouvé la même chose lorsque j’ai vu Donald Trump à la télévision pour la première fois et que j’ai entendu qu’il était candidat à la présidence des États-Unis.

“Impossible,” me suis-je murmuré. “Ce doit être un canular !”

Les Américains sont capables de bien des choses. De temps en temps ils se permettent un moment de folie collective. Prenez Joe McCarthy. Mais pas cela ! C’est trop gros.

MAINTENANT IL semble que Donald Trump soit en bonne voie pour la Maison Blanche.

Patience, me dit-on. Ce ne sont encore que des primaires. OK, quelque chose de bizarre est arrivé au Parti Républicain. Mais le jour des élections, face au choix réel, la grande majorité des Américains reviendra à la sagesse et votera pour son adversaire, quel qu’il ou elle soit.

C’est aussi ce que je pensais.

Plus maintenant.

Maintenant, je n’en sais plus rien.

J’ai le sentiment bizarre qu’au lendemain des élections je pourrais me réveiller face à un Président Trump.

Impensable ? Repensez-y.

Probable ? Je ne suis plus sûr.

LA DÉMOCRATIE, aurait dit Winston Churchil, est le pire système politique, excepté tous les autres.

(Churchill, qui a été élu à maintes reprises pour des partis différents a déclaré également que pour perdre ses illusions sur la démocratie, il suffisait de parler avec un électeur moyen.

L’un des défauts de la démocratie c’est d’être fondée sur une contradiction. L’aptitude à remporter une élection démocratique et la capacité de diriger un pays requièrent des talents très différents et souvent contradictoires.

Il y a des candidats qui sont de purs génies pour gagner des élections. Ils cherchent à plaire aux masses, à séduire les riches donateurs. Un fois élus, ils n’ont pas la moindre idée de ce qu’il faut faire ensuite.

Il y a des candidats qui sont nés hommes ou femmes d’État, doués de sagesse et d’intuition, mais qui n’ont pas la moindre chance d’être élus un jour. Le candidat à la présidence Adlai Stevenson s’était vu dire un jour que tous les gens intelligents allaient voter pour lui. “Mais c’est une majorité qu’il me faut,” railla-t-il.

Et puis, il y a le très, très petit nombre de ceux qui sont nés avec une âme de chef, qui peuvent à la fois se faire élire puis, une fois élus, mener leur pays d’une main sûre. Churchill, encore lui.

TRUMP, me semble-t-il, est de la première espèce. De ceux qui ont le don de séduire les masses, mais dont la capacité à diriger une puissance mondiale est très douteuse. Bien plus, je pense que c’est une personne très dangereuse.

Au début, il avait l’air d’un clown. Les gens ne le prenaient pas au sérieux. On considérait qu’il allait occuper le terrain un petit moment, puis disparaître. Ceux qui disaient cela, ce sont eux qui ont aujourd’hui disparu.

Et puis, il apparaissait comme un opportuniste sans scrupules, un individu capable de dire à tout moment ce qui lui passait par la tête, même si c’était le contraire de ce qu’il avait dit la veille. Pas sérieux. Un bouffon. Inéligible.

Ce n’est plus le cas. Le Trump que nous avons maintenant devant nous est un candidat très habile, un gagnant, un candidat doué d’un inquiétant talent pour canaliser les craintes, les ressentiments, la colère et l’amertume des blancs de la classe inférieure, qui ont l’impression que des politiciens corrompus, des noirs, des hispaniques et d’autres racailles leur enlèvent leur pays.

ATTENDEZ ! QUE vous rappelle la dernière phrase ?

Un individu qui commença aussi par avoir l’allure d’un clown, puis se transforma en un candidat habile, promit de redonner à son pays sa grandeur, bâtit sa carrière sur le ressentiment contre les minorités (les Juifs dans ce cas et les gens de gauche, les homosexuels, les Roms, les étrangers et les handicapés), qui disait toutes les choses que ses rivaux avaient peur de formuler – et qui apporta des souffrances inimaginables à son pays et au monde entier.

Pas de noms, s’il vous plait.

Donald Trump est d’origine germanique. Ses ancêtres portaient le nom de Drumpf et travaillaient dans un vignoble d’une petite ville de Rhénanie. Son grand-père, Friedrich, émigra en Amérique en 1885. Au cours de la ruée vers l’or sur la côte ouest, il ouvrit une chaine de restaurants pour chercheurs d’or seuls, à qui ils offraient la nourriture ainsi que des prestations sexuelles. Voilà comment s’est constituée la fortune de Trump.

Mais lorsque Friedrich épousa une fille de sa ville d’origine, il voulut rentrer en Allemagne. Il y avait un problème. Le nouveau Reich allemand était très strict en matière militaire. On découvrit que Friedrich avait quitté l’Allemagne juste avant d’avoir l’âge d’être appelé sous les drapeaux et qu’il voulait rentrer à peine deux mois après avoir dépassé l’âge de la conscription. Vous ne pouvez pas faire une telle chose. Pas dans l’Allemagne du Kaiser. Il se fit donc expulser et dut reprendre le chemin de l’Amérique.

On peut sans peine se demander ce qui se serait passé s’il avait été autorisé à revenir en Allemagne. Donald Drumpf serait-il actuellement à la tête d’un parti d’extrême droite à Berlin ?

AUX beaux jours du fascisme italien et allemand, le nouvelliste américain Lewis Sinclair avait écrit un livre dont le titre était "It Can’t Happen Here" (“Cela ne peut pas arriver ici”). Le titre était ironique, parce que le livre montrait précisément que “cela” peut arriver “ici” : le fascisme peut l’emporter aux USA, aussi. Mais Lewis imaginait une copie du fascisme de style européen, qui était étranger à l’Amérique. C’est ce que fit aussi l’écrivain italien Ignatio Silone qui écrivit le livre - “L’école des dictateurs”- sur une future Amérique fasciste.

Il n’existe pas de définition claire du fascisme. Les fascistes n’ont pas de livre saint, comme “Das Kapital” pour les communistes. On a dit à propos des fascistes : “J’en reconnaitrai un quand j’en verrai un”. Mais chaque pays a sa propre forme de fascisme, et ils peuvent être tout à fait différents les uns des autres.

Regardez Trump. La totale assurance du chef. Le culte de la puissance brutale. Le nationalisme débridé. Les attaques contre les minorités. Le mépris pour la classe politique (des deux partis). Pas de drôle de petite moustache, mais une drôle de tignasse orange.

Du fait que les fascistes prétendent glorifier leur propre nation à l’encontre de toutes les autres nations, on aurait pu considérer que les fascistes de nations différentes étaient des ennemis les uns des autres. Mais en pratique ce genre de chose qu’est le fasciste international existe bien. Un fait : le leader fasciste français Jean-Marie Le Pen, qui a été exclu de la direction de son parti par sa propre fille en raison de son extrémisme débridé (et de son antisémitisme), a félicité Trump, et c’est ce qu’a fait également l’ancien leader du Ku-Klux-Klan raciste américain. Trump n’en a récusé aucun. Et même, lorsqu’il a été surpris à citer une phrase qu’aimait beaucoup Benito Mussolini (“Mieux vaut vivre un jour dans la peau d’un lion que cent ans dans celle d’un mouton”), Trump ne s’est pas excusé. (le lion Mussolini lui-même implora d’avoir la vie sauve avant d’être exécuté par des partisans italiens.)

C’est à cette lumière qu’il faut juger l’attitude de Trump à l’égard du conflit israélo-palestinien. À première vue elle semble rassurante. Tous les autres candidats des deux partis sont à plat ventre devant Nétanyahou dans une soumission servile, mendiant des subventions des divers Sheldon Adelson. Trump n’a pas besoin de l’argent juif. Alors il dit une chose raisonnable : qu’il veut rester neutre afin qu’en tant que président il soit capable d’agir en médiateur neutre.

Cette attitude a l’air bien. Mais elle a une autre signification venant d’un sympathisant du Ku-Klux-Klan.

TOUT CELA met Nétanyahou dans l’embarras. Que faire ?

Il déteste Hillary Clinton comme il déteste tous les Démocrates. Il est vrai qu’il y a bien des années, en tant que première dame, Hilary avait pris position en faveur d’un État palestinien à côté d’Israël. À l’époque, j’avais organisé une manifestation de soutien à Hillary devant l’ambassade des États-Unis à Tel Aviv. Les marines ne nous permirent pas d’approcher. Mais depuis lors beaucoup d’eau a coulé dans le Jourdain, comme a coulé beaucoup d’argent de Chaim Saban et d’autres milliardaires juifs. Maintenant Hillary se met à plat ventre comme les autres.

Nétanyahou est un fervent Républicain. Il serait très heureux d’un président Rubio ou d’un président Cruz. Mais un président Trump ? Un antisémite ? Un ami des Arabes ? Eh bien, on a déjà vu des choses plus étranges.

Selon le dictionnaire d’Oxford, “trump” désigne non seulement une carte qui, dans une couleur, l’emporte sur les autres, l’atout, mais ce mot désigne aussi un bruit assourdissant. “La trompette du Jugement Dernier” est la trompette dont la sonnerie réveillera les morts le Jour du Jugement.

Espérons que les électeurs américains se réveilleront avant ça.

DANS LES ANNÉES 1960, un de ses collaborateurs courut vers le Premier ministre d’alors, Levy Eshkol. “Levy, une terrible catastophe,” s’écria-t-il. “Il va y avoir une sécheresse sérieuse !” “Où ? Au Texas ? Demanda craintivement Eshkol. “Non ! Ici en Israël !” répondit l’assistant. “Alors qu’est ce qu’on en a à foutre !” répondit Eshkol, soulagé.

N.B. Après la publication, un lecteur attentif m’a adressé la correction suivante : “Le Donald n’est pas antisémite ni sympathisant du Ku Klux Klan. Il a désavoué Duke à 19 reprises au cours des deux dernières semaines. C’est un donateur important à Israël, deux de ses enfants ont épousé des Juifs avec son approbation sans réserves, et l’un d’eux s’est même converti au judaïsme orthodoxe strict.” Cela n’a pas été signalé ici. Je n’aime pas répandre de fausses accusations d’antisémitisme. Je présente donc des excuses du fond du cœur. Cela ne change pas mon opinion sur l’homme.

Le fascisme n’a pas besoin de recourir à l‘antisémitisme, en particulier quand il peut recourir à l’islamophobie. Le fait est que nous avons pas mal de fascistes juifs en ce moment. Tous mes vœux. Uri

Uri Avnery, journaliste israélien et militant de paix d’origine allemande émigré en Palestine en 1933 à l’âge de 10 ans, écrit chaque semaine à l’intention d’abord de ses compatriotes, un article qui lui est inspiré par la situation politique de son pays ou en lien avec lui. Ces articles, écrits en hébreu et en anglais sont publiés sur le site de Gush Shalom, mouvement de paix israélien dont il est l’un des fondateurs. À partir de son expérience et avec son regard, Uri Avnery raconte et commente. Depuis 2004, l’AFPS réalise et publie la traduction en français de cette chronique, excepté les rares articles qui n’ont aucun lien avec la Palestine. Retrouvez l’ensemble des articles d’Uri Avnery sur le site de l’AFPS : http://www.france-palestine.org/+Uri-Avnery+

http://www.france-palestine.org/Le-dernier-Trump

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11 mars 2016 5 11 /03 /mars /2016 02:39

British giant G4S to end Israeli business after BDS pressure

March 10, 2016 7:41 P.M. (Updated: March 11, 2016 9:45 A.M.)

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AFP/File

BETHLEHEM (Ma'an) -- British security giant G4S announced Wednesday plans to sell its Israeli businesses in the next 12 to 24 months citing commercial reasons, according to the official website of the Boycott, Divestment, and Sanctions Movement.

The world’s largest private security company has been a major target for the movement, and has lost millions of dollars in contracts in more than a dozen countries as a result of a four-year long BDS campaign against them.

The announcement to close the Israeli subsidiary of the company was reported in their full-year results released Wednesday that showed a 40 percent fall in pre-tax profits.

Private businesses, universities, trade unions, and UN bodies are among the company’s lost clients, including the Bill Gates Foundation, which divested its $170 million stake in the company in 2014 following protests at its offices in Seattle, London and Johannesburg.

Earlier this month the United Nations Children’s Fund (UNICEF) in Jordan also ended its contract with G4S.

In April 2012 the company's involvement in Israeli prisons came under the spotlight as thousands of detainees in Israeli jails launched a mass hunger strike against poor treatment in custody.

G4S provides assistance to prisons inside Israel as well as equipment for Ofer prison in the occupied West Bank, and other detention facilities, activists say.

The company announced in 2013 its intention to end its role in illegal Israeli settlements, checkpoints and the prison by 2015 but did not implement the withdrawal.

G4S announced in 2014 it “did not intend to renew” its contract with the Israeli Prison Service when it expired in 2017 but has not yet implemented decision, according to the BDS Movement.

The Palestinian prisoners’ rights group Addameer called for the United Nations late last year to take action against G4S for its role in violent abuses that have taken place in detention centers worldwide.

In another recent victory from the BDS campaign, French telecoms giant Orange has announced the termination of its franchise relationship with Israeli company Partner Communications.

The Palestinian civil society campaign for BDS calls for applying broad boycott, divestment and sanctions initiatives against Israel, similar to those applied to South Africa during the apartheid era, until Israel meets its obligations under international law by respecting the basic right of the Palestinian people to self determination.

Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu has slammed the BDS movement, and a recent EU decision to prohibit settlement products from being labelled "Made in Israel" briefly drove a wedge between EU and Israeli leadership at the end of last year.

British proposals to forbid a boycott of Israeli settlement goods by publicly-funded British institutions brought heavy criticism from the BDS movement last month.

Rafeef Ziadah, a spokesperson for the UK branch of the Palestinian BDS National Committee, slammed the British proposal at the time.

"By undermining local democracy in service of Israel, David Cameron is standing on the wrong side of history, just as Margaret Thatcher did with her support for apartheid South Africa," Ziadah said.

"The BDS movement in the UK has achieved wide support precisely because of the failure of successive UK governments to take action in response to Israel’s war crimes."

http://maannews.com/Content.aspx?id=770645

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11 mars 2016 5 11 /03 /mars /2016 02:38

48 % des juifs israéliens ne veulent pas d’Arabes en Israël

OLJ

09/03/2016

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Près de la moitié des juifs israéliens sont favorables à « l'expulsion » ou au « transfert hors d'Israël » de la population arabe, selon un sondage du Pew Research Center rendu public hier.

De nombreux Israéliens, juifs comme arabes, semblent par ailleurs avoir perdu tout espoir de voir aboutir une solution à deux États pour mettre fin au conflit, précise l'enquête menée par ce groupe de réflexion basé à Washington.

Quarante-huit pour cent des juifs israéliens approuvent l'idée « d'expulser » ou de « transférer hors d'Israël » les Arabes, qui représentent 19 % de la population totale israélienne.

D'après ce sondage, près de 80 % des Arabes israéliens se plaignent de graves discriminations.

Pour 40 % des juifs israéliens, il serait possible de trouver un moyen pour qu'Israël puisse coexister avec un État palestinien, mais le même pourcentage juge cela impossible, des chiffres qui n'ont guère changé ces dernières années.

Chez les Arabes israéliens, 50 % pensent qu'une coexistence est possible.

Ils étaient 74 % en 2013 à le penser, avant la rupture des négociations directes israélo-palestiniennes.

http://www.lorientlejour.com/article/974444/48-des-juifs-israeliens-ne-veulent-pas-darabes-en-israel.html

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11 mars 2016 5 11 /03 /mars /2016 02:37

IOF close down leading Palestinian channel, kidnap journalists

PNN/ Ramallah/
Israeli Occupation Forces (IOF) on Friday overnight have broke into, attacked and closed down the Al-Bireh-based leading Palestinian channel, Filasteen Al-Yawm (Palestine Today), in addition to its broadcasting company, Trans Media, in Ramallah, central West Bank, and kidnapped journalists.

Local sources told PNN that intense Israeli troops broke into the headquarters of the channel in Al-Bireh town north of Ramallah, confiscated property, and closed down the offices. The closure came under the pretext of “inciting violence” through material used in the channel broadcast.

IOF also kidnapped director of the channel, journalist Farouq Elayyat from his home in BirZeit town in Ramallah. In addition, forces kidnapped photojournalist Mohammad Amr and Broadcast technician Shbeib Shbeib.

The Palestinian Journalists Syndicate strongly denounced the attack saying it was part of the Israeli serial and systematic violations against journalists and Palestinian media; an act that represents Israeli desperation and insolence.

The Israeli cabinet, headed by Benyammin Netanyahu last Wednesday has decided to carry a series of “punitive measures” against the Palestinian media, claiming that it was inciting violence.

Video Player

This is not the first Israeli attack on Palestinian media.
Last November, Israeli soldiers broke into the headquarters of Al-Hurriyya Media Network, destroyed the offices, confiscated the tools and threatened to demolish the entire building if the network works again, accusing it of “inciting” Palestinians against the Israeli occupation.

Since the start of October 2015, over 190 Palestinians have been killed, in addition to 30 Israelis, settlers and soldiers.

The current tension situation is ongoing since October first 2015, due to repetitive Israeli settler attacks on Al-Aqsa mosque, the third holiest place in Islam, and Israeli restrictions over Palestinian entrance, in addition to the Duma arson attack which killed a baby and his parents on July, 31.

IOF has been criticized internationally in recent months for its ‘preemptive shootings’ of Palestinians alleged to be holding knives.

In addition several of the incidents in which the IOF has claimed that they were ‘attacked’ have proven to be false.

Since then, over 180 Palestinians have been killed. More than 15,000 Palestinians have been injured by IOF live ammunition, rubber-coated metal bullets and teargas.

http://english.pnn.ps/2016/03/11/iof-close-down-leading-palestinian-channel-kidnap-journalists/

http://english.pnn.ps/wp-content/uploads/2016/03/67abe691ae673d80bcb337045fe5c685.mp4

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11 mars 2016 5 11 /03 /mars /2016 02:36

Syrie : négociations à Genève du 14 au 24 mars

Jan Egeland (à gauche), Staffan de Mistura (centre) et Yacoub el-Hillo, hier, à Genève. Fabrice Coffrini/AFP

Diplomatie

Les USA ont « probablement » réussi à tuer « Omar le Tchétchène », l'un des chefs militaires de l'EI.

OLJ

10/03/2016

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Une nouvelle série de discussions destinées à mettre fin au conflit en Syrie se déroulera à Genève du 14 au 24 mars, sous l'égide de l'Onu, a annoncé hier l'envoyé spécial pour la Syrie Staffan de Mistura.

« Les délégations vont arriver au cours des prochains jours et les discussions de fond débuteront lundi (14 mars) et ne dureront pas au-delà du 24 mars », a-t-il dit lors d'un point de presse. « Il y aura une pause d'une semaine à 10 jours et (les discussions) reprendront ensuite », a-t-il ajouté.
L'envoyé spécial de l'Onu a indiqué que les pourparlers se dérouleront dans des salles séparées avec les représentants du régime de Damas et ceux de l'opposition.
« L'accent sera mis sur la formation d'un nouveau gouvernement, la rédaction d'une nouvelle Constitution et l'organisation d'élections parlementaires et présidentielle dans un délai de 18 mois », a aussi expliqué M. de Mistura, soulignant qu' « une transition politique est la solution » pour mettre fin à 5 années de conflit en Syrie, qui ont fait plus de 270 000 morts et déplacé des millions de personnes.
Le régime de Damas a déjà annoncé qu'il enverrait une délégation à Genève, mais l'opposition n'a pas encore pris sa décision.
Le coordinateur général du Haut Comité des négociations (HCN, qui rassemble des groupes-clés de l'opposition et de la rébellion syriennes), Riad Hijab, a déclaré que le HCN allait d'abord envoyer une petite délégation à Genève pour rencontrer la « task force » (groupe de travail) surveillant la trêve.
Une réunion de ce groupe de travail, coprésidé par les Américains et les Russes, était prévue hier après-midi à Genève.
10 des 18 zones assiégées atteintes
Un autre groupe de travail sur l'aide humanitaire, mis en place par Moscou et Washington pour organiser avec l'Onu la distribution d'aide dans les villes assiégées de Syrie, s'est réuni dans la matinée, avant le point de presse.
M. de Mistura a annoncé qu'en l'espace de 4 semaines l'Onu et ses partenaires ont pu apporter de l'aide à 238 845 personnes vivant dans des zones assiégées ou difficiles d'accès de Syrie. « C'est un beau résultat.
L'année dernière, c'était zéro », a-t-il rappelé. Son conseiller spécial, le Norvégien Jan Egeland, a précisé que 10 des 18 zones assiégées avaient pu être atteintes. « La mauvaise nouvelle est que nous n'avons pas encore pu atteindre 6 régions assiégées importantes, dont Daraya et Douma », ni Deir ez-Zor, où quelque 200 000 personnes sont prises au piège par le groupe État islamique (EI).
Le coordinateur des affaires humanitaires de l'Onu en Syrie, Yacoub el-Hillo, a annoncé que, d'ici à fin avril, l'Onu s'était fixé pour cible de livrer de l'aide à 870 000 personnes dans les régions difficiles d'accès de Syrie.
Par ailleurs, les États-Unis ont « probablement » réussi à tuer « Omar le Tchétchène », l'un des chefs militaires de l'EI. « Il a été probablement tué avec 12 autres combattants » du groupe jihadiste dans un bombardement américain le 4 mars dans le nord-est de la Syrie, a indiqué mardi un responsable américain sous le couvert de l'anonymat.
Le porte-parole du Pentagone, Peter Cook, a confirmé qu'une frappe avait ciblé « Omar le Tchétchène », mais s'est refusé à donner toute indication sur son sort. Connu pour son épaisse barbe rousse, le jihadiste qui se nommait en réalité Tarkhan Tayumurazovich Batirashvili était un Tchétchène de Géorgie, a indiqué M. Cook.
Ce « chef de guerre expérimenté » a occupé « plusieurs responsabilités à la tête de l'organisation militaire de l'EI, dont le ministère de la guerre », a-t-il précisé.
L'administration américaine offrait 5 millions de dollars pour des informations fiables pouvant mener jusqu'à lui. Le père du jihadiste, Taïmouraz Batirashvili, a de son côté indiqué à l'agence Interfax ne pas être en mesure de confirmer sa mort : « Je ne sais rien de la mort de mon fils. Ils annoncent sa mort quasiment tous les mois. »
(Source : AFP)
Sur le même sujet

http://www.lorientlejour.com/article/974654/syrie-negociations-a-geneve-du-14-au-24-mars.html

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9 mars 2016 3 09 /03 /mars /2016 02:40

Journée Internationale des Femmes : déclaration de Khalida Jarrar depuis la prison d’HaSharon

Samidoun, Réseau de Solidarité avec les Prisonniers Palestiniens, mardi 8 mars 2016

Khalida Jarrar, la féministe palestinienne, parlementaire et dirigeante politique emprisonnée, a publié une déclaration depuis la prison d’HaSharon à l’occasion de la Journée Internationale des Femmes, saluant toutes les femmes en lutte dans le monde.

Le message a été transmis par l’avocate palestinienne Hanan al-Khatib, qui a rendu visite à Jarrar dans sa prison ; elle purge une peine de 15 mois d’emprisonnement après avoir été arrêtée le 2 avril 2015.

Voici sa déclaration :

"En ce jour, nous affirmons que nous sommes des prisonnières palestiniennes en lutte, que nous faisons partie du mouvement des femmes palestiniennes, et que la lutte nationale et sociale se poursuit sans cesse et de façon continue jusqu’a ce que nous atteignons notre libération de l’occupation, et, en tant que femmes, notre liberté de toutes les formes d’injustice, d’oppression, de violence et de discrimination à l’encontre des femmes.

En ce jour, les femmes palestiniennes marquent cet évènement en mettant en évidence les crimes de l’occupant contre les femmes, les enfants, les personnes âgées et les jeunes de Palestine.

Cette année, notre appel met l’accent sur la liberté et l’auto-détermination de notre peuple, et sur la liberté et l’auto-détermination des Palestiniennes : pour parvenir à l’égalité et à la libération, pour mettre fin à toutes les formes d’oppression et d’injustice commises contre elles.

Nous constituons, avec tou-te-s les combattant-e-s dans le monde pour la liberté des femmes, une partie du combat mondial : contre l’injustice, l’exploitation et l’oppression."

Traduit de l’anglais par Y. Jardin, membre du GT de l’AFPS sur les prisonniers

http://www.france-palestine.org/Journee-Internationale-des-Femmes-declaration-de-Khalida-Jarrar-depuis-la

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9 mars 2016 3 09 /03 /mars /2016 02:39

At least 18 Palestinians detained in overnight raids

March 8, 2016 10:37 A.M. (Updated: March 8, 2016 8:40 P.M.)

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BETHLEHEM (Ma’an) -- Israeli forces detained at least 18 Palestinians during raids across occupied East Jerusalem and the West Bank, security sources and the Israeli army said.

Palestinian security sources told Ma’an that detention raids were reported in East Jerusalem, Ramallah, Bethlehem, Qalqiliya, Nablus and Hebron areas.

Amir Khalid Jaffal, Ahmad Radi Erekat, and his brother Mahmoud were detained in Abu Dis east of Jerusalem, the sources said, while in the village of Nabi Saleh west of Ramallah, Manal Tamimi was detained from her family home.

Twelve-year-old Awni Ahmad Taqatqa and 16-year-old Mahmoud Abdullah Taqatqa were detained from the town of Beit Fajjar south of Bethlehem, security sources said.

In the northern West Bank, Yousif Sweidan was detained from Azzun in Qalqiliya district and Jasir Fatih Qadus was detained from Burin near Nablus.

Israeli forces also raided Beit Ummar north of Hebron and detained Jihad Muqbil, sources added.

Tariq Bilalou was detained from the northernmost West Bank city of Jenin, while three others were detained in the town of Yaabad to the south, identified as Muhammad Bassam Hamarsha, Fadil Turkuman and Amjad Hamarsha.

Israeli forces on Monday night also detained a Palestinian National Security colonel at the Zaatara military checkpoint south of Nablus, the sources said, identifying him as Adel Bakir.

An Israeli army spokesperson confirmed 18 detentions made in total in the occupied West Bank, the majority of whom were detained for "suspected illegal activity."

Israeli military forces routinely conduct search and detention raids across the occupied Palestinian territory -- including in Area A which is under full Palestinian jurisdiction.

The UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs has documented a weekly after of 87 raids since the start of this year.

As of Februart, 7,000 Palestinians were held in Israeli prisons, 406 of them are children, according to prisoners’ rights group Addameer.

http://maannews.com/Content.aspx?id=770601

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9 mars 2016 3 09 /03 /mars /2016 02:37

Mon07Mar2016

Alternative Information Center (AIC)

Israeli MKs debate PA ultimatum

Published: 07 March 2016

Palestinian Authority officials told Israel to respect full Palestinian control over Area A, or else lose security coordination.

Israeli radio station Reshet Bet announced on Sunday that the Palestinian Authority (PA) officially informed the Israeli government that it will end security cooperation with the Israeli Army if Israel a) continues to send Israeli forces into Area A of the West Bank and b) contests the renewal of the status of Area A and Area B in the West Bank, as per the Oslo Accords.

Reshet Bet said that Hussein al-Sheikh, an official with the Palestinian government, as well as the leaders of the PA’s intelligence and preventive security departments, Majed Faraj and Ziad Hib al-Rih, communicated the ultimatum to the Israeli government last month. Palestinian news sources have not confirmed this development.

The PA’s conditions for extending its controversial security coordination with Israel respond to Israel’s systemic disregard for the land classification system established by the Oslo Accords in the West Bank.

The Oslo Accords divided the West Bank into three different areas: Area A, 18% of the West Bank, is under full PA security and civil control; Area B, 22% of the West Bank, is under PA civil control and Israeli security control; Area C, a whopping 60% of the West Bank, is under full Israeli security and civil control.

Though Israel briefly honored its pledge to follow the Oslo Accord’s land classification system immediately after signing the agreement, in 2001, around the onset of the Second Intifada, Israeli authorities began deploying its military into Area A once again. When Palestinians attempted to stop Israeli raids into Area A at the time, Israeli forces responded with brute force, killing many Palestinians. And, since then, Israeli forces have continued to conduct raids and arrests in Area A, without inhibition.

Yesterday, at the Israeli government’s cabinet meeting, Israeli politicians responded to the PA’s announcement.

Member of Knesset (MK) Ze’ev Elkin (Likud) said that the PA’s ultimatum is evidence that security coordination with the PA has ultimately served to support the survival of the Mahmoud Abbas government, not Israeli interests.

Citing the fact that the PA has been issuing such statements “for years,” Elkin added, however, “I think it’s an idle threat.”

MK Yuval Steinitz (Likud) said that the Palestinian Authority’s statement was tantamount to shooting himself in the head. He said that without security coordination, the Palestinian Authority could collapse within months.

Reshet Bet also mentioned that Saeb Erekat, a Palestinian Liberation Organization (PLO) official, distributed a list of recommendations to Palestinian politicians as to how to restructure the PA’s relationship with Israel if Israel continues to dishonor the status of Area A. The recommendations went far beyond ending security coordination with Israel.

Erekat suggested that the PA disengage from the Paris Protocols, a set of agreements that currently govern all Palestinian economic life. Doing so, he said, would involve developing an independent Palestinian national currency and economy as well as implementing policies to boycott Israel and Israeli products.

In the realm of diplomacy, Erekat advocated opening an investigation into the Israeli occupation’s crimes against Palestinians in the International Criminal Court as well as lobbying for a UN Security Council resolution to denounce Israeli settlements.

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http://www.alternativenews.org/english/index.php/news/1306-israeli-mks-debate-pa-ultimatum

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8 mars 2016 2 08 /03 /mars /2016 02:39

Israeli troops raid orphan aid center in Beit Ummar

March 7, 2016 1:53 P.M. (Updated: March 7, 2016 3:28 P.M.)

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HEBRON (Ma’an) -- Dozens of Palestinians suffered from severe tear gas inhalation on Monday after Israeli troops raided an aid organization serving orphans in the southern occupied West Bank town of Beit Ummar, seizing equipment and assaulting staff.

Activist Muhammad Ayyad Awad told Ma’an that “Israeli troops seized files from the institution, three computer devices, and stormed the institution before they tied up the guard, Kareem Ikhalyel, in a room.”

He added that clashes broke out between Palestinian youth and Israeli troops during the raid, with Palestinians throwing stones and Israeli forces shooting tear gas and rubber-coated steel bullets.

The head of the institution, Ahmad al-Omah, described the Israeli raid as “irresponsible.”

An Israeli army spokesperson did not immediately respond for comment.

Defense for Children International (DCI), an NGO that monitors childrens' rights has documented that "psychological trauma" among Palestinian children "as a result of violence resulting from encounters with the Israeli military ... is profound and can be long-lasting."

The organization also found that since 2000, at least 8,000 Palestinian children have been arrested and prosecuted in Israel's military detention system.

Israeli forces have come under fire in the past for raiding hospitals, universities, news agencies and humanitarian institutions.

http://maannews.com/Content.aspx?id=770589

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